Résumé :
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"J'avais l'habitude de l'appeler" Sakina al-?ashwa?iya " J'ai basé cela sur le chaos de ses conversations et son allure dispersé de la tête aux pieds. Je lui donne ce que je pouvais de la poche et j'interdis ce que je ne pouvais pas, et elle avait l'habitude de célébrer les concessions et les interdictions avec son même chaos et son sourire vieillissant. Les frontaliers, dont les os se sont desséchés et sont devenus inclinés, C'est d'"Asmara"... une Erythréenne a été déplacée dans leur ville avec les mêmes traditions bien connues de déplacement, et pour les mêmes raisons bien connues d'ailleurs...Elle dit qu'elle est des pays du "Shayqih", du "Ja?liyyin", ou du "Rabatab"... Ils ont leurs yeux de " ténèbres ", leur langue sarcastique, et la stupeur de leurs femmes qui s'enfoncent dans la taupe. Il dit qu'elle s'appelle "Sakina al-Mursi" et elle est probablement originaire de la campagne égyptienne.... . Et lorsqu'on l'interroge personnellement à ce sujet, elle frappe sur la terre ferme de la frontière et dit : " Je suis d'ici.
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