Résumé :
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Quel est le plus polluant ? Le sac en papier ou le sac en plastique ? Des deux, tout le monde désignera le sac en plastique. Pourtant ce mal aimé pollue bien moins à fabriquer et à distribuer. « Plastik », d’un simple sourire et d’un regard dessiné, montre par l’implicite de la poésie que ce qui compte c’est l’usage et le recyclage que l’on fait de ces sacs. La pollution des sacs plastiques tient moins à leur nature d’objets artificiels qu’à nos gestes ou nos négligences. S’ils n’étaient pas jetés ou laissés n’importe où, ils ne pollueraient pas si souvent nos paysages de cette manière et ne tueraient pas les tortues de mer. En faisant avec malice une histoire avec à la fois le plus insignifiant et le plus emblématique des objets de notre société de consommation, en le personnalisant par la vérité de la curiosité en enfance qui sait si bien enchanter le monde, les auteurs font le quasi roman photo de ce qui devrait être une prise de conscience pour les plus grands et sera une évidence heureuse pour le plus jeunes.
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