Résumé :
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Les Cloches de Bâle, premier roman de la série (qui va faire l’objet de ma communication [3][3]) fut sans doute le plus mal aimé des romans d’Aragon (avec Les Communistes), sinon le moins étudié. Mal construit, du propre aveu d’Aragon [4][4], il portait aussi sans doute comme un fardeau, la bannière du « réalisme socialiste » qui lui fut accolée. Les éditions Denoël et Steele l’annoncèrent comme : « le premier exemple dans le roman français de ce réalisme socialiste que l’on a défini au premier congrès des écrivains soviétiques ».
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