Résumé :
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Oscillant entre essai, récit et rêve, JEAN GIONO glisse doucement de la campagne lombarde de l'Antiquité qui a vu naître Virgile à l'évocation de sa terre natale, Manosque, et mêle ainsi sa vie à celle du poète latin, jusqu'à la confusion. Un Virgile subjectif au point qu'il ne parle que de moi et qu'on ne voit Virgile qu'à travers mes artères et mes veines, comme on apercevrait un oiseau dans les branches d'un hêtre. (Jean Giono, lettre du 5 mai 1947 à l'éditeur Fournier) Ce texte a paru pour la première fois en 1947 dans la collection Les pages immortelles chez Corrêa/Buchet-Chastel.
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