Titre :
|
Fille du RER (La)
|
Auteurs :
|
André Téchiné, Metteur en scène, réalisateur ;
Odile Barski, Scénariste ;
Jean-Marie Besset, Scénariste ;
Michel Blanc, Acteur ;
Catherine Deneuve, Acteur ;
Emilie Dequenne, Acteur ;
Philippe Sarde, Compositeur
|
Type de document :
|
document projeté ou vidéo
|
Editeur :
|
UGC Vidéo, 2012
|
ISBN/ISSN/EAN :
|
3384442252195
|
Format :
|
1 DVD (101 min) / 16/9 compatible 4/3, Dolby Digital 2.0, 5.1
|
Note générale :
|
Commentaire audio de Jean Douchet, galerie photos.
Prêt
|
Langues:
|
Français
|
Résumé :
|
Jeanne vit dans un pavillon de banlieue avec sa mère Louise. Les deux femmes s'entendent bien. Louise gagne sa vie en gardant des enfants. Jeanne, sans trop de conviction, cherche un emploi. Un jour, en lisant une annonce sur le net, Louise croit que le destin frappe à sa porte. Elle nourrit l'espoir de faire engager sa fille chez Samuel Bleistein, un avocat de renom qu'elle a connu dans sa jeunesse. L'univers de Jeanne et celui de Bleistein sont à des années lumières de distance... Pourtant, ils vont se rencontrer à cause d'un mensonge inouï que Jeanne va échafauder... Le vendredi 9 juillet 2004, une jeune femme porte plainte. Elle affirme avoir été victime d'une agression à caractère antisémite sur la ligne du RER D. Ce témoignage entraine une indignation du milieu politique et déclenche une couverture médiatique alors que le dossier est vierge. Deux jours plus tard, la jeune femme avoue avoir tout inventé. La Fille du RER s'est inspiré de cette affaire, fait divers le plus médiatisé et le plus politisé de ces dix dernières années. Mais c'est aussi et surtout la pièce de Jean-Marie Besset "RER" qui a donné l'idée à André Téchiné de porter le fait divers à l'écran. "Il faut à la fois une très subtile intelligence politique et une immense générosité de conteur (...) pour assembler une telle coexistence de puissances lourdes, et y laisser circuler autant d'air." Cahiers du Cinéma "Solaire, captivant, le film d'André Téchiné s'affranchit de la réalité, séduit par sa liberté et son refus de blanchir ou de noircir le tableau." Le Parisien
|