Résumé :
|
Isabelle Simler prend ses crayons pour illustrer, à sa manière, et expliquer aux enfants les chemins que prennent nos pensées. En créant des analogies avec des animaux familiers, elle invente un univers où les idées vivent et évoluent sous nos yeux. Poisson d’argent, silhouette de gazelle élancée ou lièvre prêt à bondir, les idées s’échappent comme des anguilles, émergent comme des têtards, surgissent la nuit comme la biche puis se volatilisent dans la nature. Le narrateur/lecteur suit ainsi le fil de la pensée en train de se faire et décrit la naissance d’une idée. Entre le monde intérieur et l’extérieur, l’idée se balade, joue, se perd et reparaît au moment où l’on s’y attend le moins. Elle connecte le narrateur à son environnement mais peut aussi l’emmener dans un univers fantaisiste et inventé. Elle est libre comme l’air.
|