Résumé :
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Enfin réclamée, parfois atteinte puis à nouveau (provisoirement) perdue, exacerbée dans tous ses aspects, la liberté jaillit sur les murs du Caire comme le leitmotiv suprême du printemps arabe égyptien. De nombreux artistes aux talents aussi multiples que variés pratiquent la métaphore entre l'éphémère du graffito vite effacé et l'éternel d'un patrimoine antique ineffaçable. Quoi de plus symbolique que cet art de rue, fugitif et transgressif, pour transmettre la chronique instantanée et picturale d'une révolution en quête de liberté ?
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