Résumé :
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…Comme j’ai publié peu de textes de fiction, l’essai est relativement mieux représenté dans mes écrits, mais en ce qui me concerne, je ne vois guère de différence entre les deux genres : en passant de « L’œil et l’aiguille », par exemple au « Cheval de Nietzsche », je n’ai pas l’impression d’avoir changé essentiellement de registre. A cet égard, Mirella Cassarino, qui m’a traduit en italien, a observé que dans les deux cas « un texte jaillit du mélange de l’écriture et de la lecture ». J’ajouterais de l’émotion…
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