Résumé :
|
Le jazz et la java, le goût des autres... Titres de livres ou de films, connus de tous, à partir desquels François Leclercq propose une réflexion sur la ville, sur la dualité architecture / urbanisme, sur la standardisation d'un bon goût qui en devient stérile, sur les diktats du développement durable, sur l'influence de la crise dans l'évolution des villes. A partir de sa pratique d'urbaniste et d'architecte, il revendique ici une ville de la libre appropriation, où chacun peut être voyageur dans sa propre ville, qui se réinvente à partir de sa singularité.
|