Résumé :
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C'est bizarre, je ne vous reconnais pas ; Tant il fait nuit Je ne vois plus votre visage ; En dépit dans vos yeux de cette lumière ; De diverses couleurs si loin là-bas. Je comprends que vous tous, vous n'êtes plus ; Auprès de moi qu'une seule présence, A qui tendre la coupe, je ne sais ; Ni ne le veux, je la pose, un instant. Apercevant vos mains, Je les touche des miennes, c'est suffisance. Car c'est vrai que rien n'est réel, de cette salle ; Où nous sommes ensemble, vous et nous. A-t-elle des cloisons, elles s'effacent ; Dès que je m'en approche. Je ne sais Si c'est dedans, dehors, cette nuit claire, Je prend la coupe, je l'élève...
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