Résumé :
|
Incroyable ! L'auteur d'Autant en emporte le vent avait donc laissé derrière elle une autre ouvre romanesque, restée inédite durant trois quarts de siècle ! A sa mort en 1949, Margaret Mitchell avait demandé la destruction de toutes ses archives personnelles. Mais, à l'insu de tous, son ami d'enfance et de toujours, Henry Love Angel, s'était constitué un petit trésor de guerre - lettres, photographies et, surtout, le manuscrit dont elle lui avait fait cadeau on ne sait quand ni pourquoi -, qui revoit le jour, quelques décennies plus tard.
|