Éditeur P.O.L
|
Documents disponibles chez cet éditeur (43)



![]()
texte imprimé
C'est d'abord l'image célèbre d'Aby Warburg s'adressant aux phalènes, la nuit, dans sa chambre de Bellevue. Il appelle les phalènes « ses petites âmes », des nymphes venues briller dans la nuit de son esprit, car cette nuit n'est pas qu'obscure,[...]![]()
texte imprimé
Nous menions, ma soeur et moi, une existence idéalement paisible - une existence qui, à bien des égards, évoquait le paradis. Notre paradis immobilier, répétait Léonie, qui s'était toujours refusée à me dire à qui appartenait l'appartement et co[...]![]()
texte imprimé
Ryoko Sekiguchi a souvent écrit sur les cinq sens : l’audition dans La Voix sombre, le goût dans plusieurs ouvrages, comme Nagori ou 961 heures à Beyrouth (et 321 plats qui les accompagnent), comme sur l’éphémère et l’impalpable. Avec ce nouveau[...]![]()
texte imprimé
Je voudrais raconter les éditions de Minuit telles que je les voyais enfant. Et aussi mon père, Jérôme Lindon, comme je le voyais et l'aimais. Y a-t-il des archives pour ça ? Et comment être une archive de l'enfant que j'ai été ?![]()
texte imprimé
Pendant longtemps on a cru que le méchant était Ray Duluc. Il faut dire qu'il avait le profil : des meurtres, des vols de pâtisseries (cookies, flans), des faux en écriture, des rôdes sur le darknet et les sorties d'école. Ce n'était pas exactem[...]![]()
texte imprimé
![]()
texte imprimé
"Je peux te montrer ce qu'ils ne verront jamais. Tu es capable?"![]()
texte imprimé
Retour aux jardins. Ceux des enfances délicieuses ou suppliciées. Puis leurs restes encroûtés de zones, parkings, hypermarchés. Partout, un monde fou : postiers ivrognes, jardiniers pensifs, poètes bocagers, galopins des friches, épouvantails et[...]![]()
texte imprimé
« Que le cinéma aille à sa perte, c'est le seul cinéma. Que le monde aille à sa perte, qu'il aille à sa perte, c'est la seule politique. » Marguerite Duras, Le Camion Cet ouvrage recueille, pour la première fois, un ensemble de textes et d'entre[...]![]()
texte imprimé
La cale vide, ou presque vide d'un cargo roulier. Un rendez-vous en haute mer. L'amour, l'enfance, le pouvoir, l'amitié et des mallettes emplies de billets. Bref, tout ce qu'il faut pour que la monotonie funèbre d'un dernier voyage au long cours[...]![]()
texte imprimé
De la vie de cet enfant, je ne connais que le début. Mais pourquoi ai-je l'impression qu'à peine commencée, cette vie-là est déjà écrite et qu'il est trop tard pour en changer le cours ? Après tout, ce n'est qu'un petit garçon de quatre ans et d[...]![]()
texte imprimé
« Elle a dit, c'est génial finalement, considère qu'on est les deux filles d'une seule et même famille : l'une fera des maths, l'autre des lettres. Nos parents auront le sentiment d'avoir accompli une progéniture parfaite, qui couvre tout le spe[...]![]()
texte imprimé
On a cru qu'en vivant tous les quatre on vivrait plus longtemps. Que la coloc entre vieux, perchés au dernier étage, faisait de nous des malins. Qu'on partagerait nos crépuscules. Qu'on était les derniers d'un monde disparu. On a tout faux, j'ai[...]![]()
texte imprimé
Il est quand même tard pour appeler, je me rabats sur un SMS. Je dis à Nadia que je viens d'apprendre pour Alexandre et que je suis stupéfait, c'est le mot que j'emploie, il ne convient peut-être pas très bien mais j'ai du mal à trouver une form[...]![]()
texte imprimé
Alors, dès cet instant, l'adolescente entre dans la photographie comme la foudre, et ce qui suit s'appelle une légende. Comme si on avait tendu un violon à un novice et qu'une sonate était sortie d'un coup.